Hello' , Florian , 16 ans , Apprenti en vente et RPiste assidu
RP (( Note : Mon RP est basé sur la creepy pasta de jeff the killer .))
UID: 76561198083782896
*Un carnet terni pas les années , orné d'une couverture en cuir et enjolivé de quelques taches de sang est posé sur le rebord d'une fenetre de berezino , lorsque vous l'ouvrez vous remarquez une photo de famille*
Mon nom est Falkien , j'ai vue le jour en 1990 . Je vivais avec ma famille dans une modeste maison de Berezino . Ma mère exerçait des petits boulot pour tenter de subvenir au besoin familiaux , il n'y avait que ma mère qui travaillait , je n'ai jamais connu mon père . Dans les journaux , les politiciens ne cessaient de parler du nucléaire , de production , voulant toujours produire plus et plus rapidement ... Je n'allai plus au lycée , faute de moyen , je ne pensais pas au futur ... Un soir , alors que nous allions comme tout les jours mangé , une tempête éclata , une tempête que nous n'avions jamais vue ici , en Russie . La foudre frappé , l'orage retentissait comme des coups de fusil , faisant vibrer les murs . Notre petite chienne , Opale était resté dehors , ma mère se hâta d'aller dehors pour la ramené dans la maison . Jetais assis sur une chaise , attendant que l'orage passe , je regardais la pendule au dessus de la cheminé , une heure que ma mère était partit . Je courru au grenier et je pris le mosin de mon grand père , ainsi qu'une boite de quelques cartouches que je mis dans un sac, ne voulant pas penser au pire.
J'ouvris la porte de la maison , c’était un spectacle terrifiant qui se déroulait devant mes yeux . Des maison brûles , des personnes couraient , s’échappaient . J'hurler le nom de ma mère , tout en marchant au milieux des flammes . Un énorme arbre qui brûlé, tomba sur la maison , la détruisant et la laissant en proie aux flammes . Je ne savais que faire .. ou est ma mère ? ..et si je la retrouve , ou allons nous vivre ? Comment allons nous nous en sortir ? . Tant de question qui se bousculé dans ma tête , je courus , je voulais partir de Berezino , quand je vie dans mon élan , un bateau de pêcheur . Je le pris , en espérant trouvé une terre d’accueil . La mer était déchaînée , une énorme vague eu raison de mon embarcation , la violence du choc me fit tomber inconscient . Je me réveilla , sur une plage , le lendemain peut être ... Ma main tenait fermement le Mosin , et mon sac avait gardé les munition au chaud ... Je me relevais , ce n’étais plus le même paysage . Le ciel était sombre , les arbres sans couleur , et les maisons vident .... Je ne sais pas ce qu'il s'est passé pendant cette tempête , une centrale nucléaire peut être ..... J'avançais vers les maison quand je vu des formes humaines , marchant sans but d'une drôle de façon ... Ce n’était pas des humains , ils se dirigeaient vers moi , je pris le mosin et tira plusieurs coup . Je ne savais pas ou aller , peut être que sur ma route d'autres survivants vont passé et d'autres trépassés , mais je ferrai tout pour survivre , car au delà de ces terres ravagés , peut être qu'un monde meilleur m'attend .
* Lorsque vous tournez la page vous remarquez que l’écriture est brut et agressive *
Apres plusieurs jours a essayer de survivre , je pris la décision de retourné a Berezino . Il y avait un grand nombre de mort vivant . Toutes mes munitions y passèrent . J'ai traînais les cadavres dans l'églises , je pris un bidon d'essence afin d'en déverser le contenu sur la pile de cadavre. Je pris un briquet . Lorsque je voulu lancer le briquet un homme me poussa et referma les portes . Lorsque je me suis réveillé quelques jours plus tard. J'avais la peau blanchi est brûlée . Je pris un couteau afin d'entaillé l'angles de mes lèvres , afin d 'avoir ou sourire angélique et ne plus a avoir a faire d'effort pour sourire . Je pris mon briquet afin de me brûler les paupières et voir mon beau visage en permanences . Ma nouvelle vie commence , sur ma route certains passeront et d'autres trépasserons ...
* A la fin de votre lecture vous sentez une souffle dans votre cou , la froideur d'un canon sur votre têtes , un rire macabre et la balle fatale*.